Un petit problème, deux "petits" problèmes, un tas de gros problèmes ! [PV : Dean]

Messages : 36 Date d'inscription : 15/04/2012

La police, la sirène de leurs voitures, leurs gyrophares, les écriteaux sur leurs portières, leurs uniformes. Je devais tout savoir de leurs positions, je devais leur échapper, pourquoi ? Pour ne pas purger une peine de prison que d’autres que moi méritaient et le méritaient cent fois plus que moi. Je n’avais que dix-huit ans et pourtant, j’étais aussi recherché que des hommes de trente, voir même plus. Pourquoi n’avais-je pas le droit de venger ma bien-aimée sœur ? Pourquoi la justice était aussi mal faite ? Une sirène, je devais me cacher, mais j’étais dans un cul de sac, sombre, lugubre, inspirant la peur et la crainte, tout comme ce soir là. La seule cachette que j’avais à ma portée était une grosse poubelle pleine et s’il trouvait des sacs poubelles à côté, ils fouilleraient dans la grosse benne à ordure pour vois s'il n'y avait pas quelqu'un à l'intérieu. Donc le jugement final allait arriver. Je payerai cher pour que tout cela finisse pour qu’enfin je retrouve ma famille derrière une porte, quitte à mourir s’il le fallait, bien que donnerautre chose en échange ne serait pas plus mal. Deux policiers coururent vers moi, à la vue de mon énorme épée First Chaos, ils sortirent leurs pistolets par précaution, tandis que moi, je la pris et la mis denat moi, de manière à me protéger le plus possible des possible balles.

Et là, je vis ma " libération ", une chance d’échapper, une porte se trouvant derrière moi, alors sans me poser de question, je cassai la porte d’un coup violent d’épée. Par reflexe l’un des deux flics me tira une balle dans le flanc droit, je ne m'attendais pas à ce que ces deux idiots me tire dessus comme ça, comme de lâches (en mon point de vue de " fugitif "). Un atroce cri de douleur sortit tout de droit de mes trippes se fit entendre, je tombai au sol, je n'arrivais plus à sentir autre chose que cette douleur, mais m’accrochant à mon dernier espoir, je trainai ma carcasse dans le couloir derrière cette porte, étrangement les deux policiers de me suivirent pas. Par curiosité je me retournai, pour voir leur avancée, croyant avoir derrière moi les deux hommes près à en finir avec moi une bonne fois pour toute, mais non, la porte était fermée, la porte qui précédemment était détruite, s'était fermée toute seule, comme un grande, sans la moindre égratignure et d’une couleur différente, bien que je n'avais vu que le côté extérieur. J’étais assez choqué, mais pas assez pour en oublier la douleur.

Reprennant mon courage à deux mains, affichant une grimace explicite, continuai de me trainer. Que ce soit le bruit de mes vêtements, de mon épée, de mes dents qui se serraient, tout résonnait dans ce couloir, une longue trace de sang derrière moi montrait mon passage. En arrivant au bout du couloir, une porte, du peu de force qu’il me restait, je pris la poignée, la tourna, ma vision commençait à devenir trouble et d’une voix tremblotante je dis :

-Excusez-moi du dérangement…

Là trois choses étranges se déroulaient sous mes yeux éberlués. En un j’étais dans un bureau dont les fenêtres montraient un immense jardin, ce qui n’était pas le plus flagrant, en deux, le bazar ressemblait à celui de mon ancienne chambre et en trois, je n’étais plus blessé ! En passant la porte, la fermant, je n’étais plus en train de mourir… En ouvrant à nouveau la porte d’un geste brusque le couloir n’était plus le même…

-Euh, C’EST QUOI CE DELIRE ! Même si le fait de ne plus être mourant me ravis, le fait que des trucs cheloux se passent sous mes yeux me fait peur...

Je me retournai et là, je vis un homme qui n’y était pas trente secondes avant…

» Bebat Dean
» A Dean!! donc pas approcher!!!
» Arrivé surprenante [Privé : Nath, Dean et Yami ]